François Perusse a ce petit proverbe que j'aime beaucoup : "souris a chaque personne que tu rencontres dans la rue et tu verras ! Un jour, y'en a un qui va te casser la gueule !"
Je suis hilare depuis que je suis arrivée a Genève, si bien qu'a la longue, je vais peut-être finir par m'en prendre une, en effet. Mais j'ai des circonstances atténuantes, Votre Honneur : c'est plutôt marrant ici. Outre la question du vocabulaire ("trois euros septante, s'il vous plaît !"... C'est rien, je vais m'habituer...), j'ai traversé un bureau de douane quasi a l'abandon : un truc vieillot qu'on croyait réservé aux séries policières françaises toute pourries (aux séries policières françaises, donc). On se demande même si y a pas des mauvaises herbes qui poussent dans un coin. Et dans cet endroit, trois nanas qui attendent pour déclarer des marchandises probablement, et qui se regardent avec l'air amusé mêlé d'etonnement qu'ont ceux qui se demandent un peu quoi faire.
Je sors de là, longe une allée de cabines téléphoniques qui ne manque pas de me faire réfléchir, rapport aux défis du mois de juin que Sara et moi-même avons déjà choisis, et là, le coup de grâce.
A la sortie de la gare, il y a des panneaux annonçant une rénovation des lieux. Et quels panneaux, jugez plutôt :
Je suis hilare depuis que je suis arrivée a Genève, si bien qu'a la longue, je vais peut-être finir par m'en prendre une, en effet. Mais j'ai des circonstances atténuantes, Votre Honneur : c'est plutôt marrant ici. Outre la question du vocabulaire ("trois euros septante, s'il vous plaît !"... C'est rien, je vais m'habituer...), j'ai traversé un bureau de douane quasi a l'abandon : un truc vieillot qu'on croyait réservé aux séries policières françaises toute pourries (aux séries policières françaises, donc). On se demande même si y a pas des mauvaises herbes qui poussent dans un coin. Et dans cet endroit, trois nanas qui attendent pour déclarer des marchandises probablement, et qui se regardent avec l'air amusé mêlé d'etonnement qu'ont ceux qui se demandent un peu quoi faire.
Je sors de là, longe une allée de cabines téléphoniques qui ne manque pas de me faire réfléchir, rapport aux défis du mois de juin que Sara et moi-même avons déjà choisis, et là, le coup de grâce.
A la sortie de la gare, il y a des panneaux annonçant une rénovation des lieux. Et quels panneaux, jugez plutôt :

C'est fun, la Suisse, ca me plaît ca !
C'est énorme ! Ramène m'en un capitaine !
RépondreSupprimerMmmm... il voulait bien venir visiter le Phare, mais il était collé à la vitre... Dommage !
RépondreSupprimer